Après avoir juré qu'elle n'en referait plus, après avoir affirmé que c'était en quelque sorte une erreur, cette agente administrative congédiée de l'école Les Etchemins de Lévis se relance dans la porno. «Je le fais pour moi, je l'assume et j'ai le goût de l'aventure», affirme celle qui a obtenu l'approbation de sa fille aînée de 12 ans.
Vous vous demandez pourquoi je continue à suivre cette histoire? Simplement parce que j'ai du mal à accepter toute la bullshit qui l'a entourée. Trop souvent, les médias ne creusent pas les événements qu'ils rapportent et n'en font pas le suivi.
Madame Ardente assure que son conjoint sera son seul partenaire de scène. Appelons cela un progrès pour celle qui travaillait dans une école, qui affirme que son travail ne l'a jamais mise en contact avec des jeunes bien que l'un d'entre eux l'ait reconnue et qu'elle ait communiqué avec celui-ci par l'intermédiaire de Facebook et qui, enfin, a tourné une vidéo la présentant avec des jeunes filles ayant à peine 18 ans et où elle les initiait au plaisir féminin en présence de sa «fille» (une actrice) endormie.
3 commentaires:
J'adore ses initiales... ;)
Bonjour,
voilà une histoire qui fait encore jaser et je ne parviens pas à comprendre pourquoi une femme si brillante veut renouer contact avec le milieu de la pornographie à part, bien sûr, pour l'appât du gain facile. En pus, elle a le culot d'avouer qu'une firme d'avocats voulait l'embaucher. Beaucoup de jeunes femmes aimeraient avoir tant de facilité, je crois, la beauté aidant.
Pour ma part, sans prétendre être une beauté fatale, je ne m'abaisserais jamais pour autant à utiliser mon image pour faire de l'argent de cette manière. Voyons, pourquoi les femmes lutteraient tant à promouvoir l'équité salarial en tout honneur sans user de leurs attributs physiques? Franchement, j'ai un peu honte d'être une femme pour tous ceux et celles qui encouragent les agissements de cette femme. Je ne la juge pas, mais que les médias cessent d'en faire tout un tapage pour se tourner davantage vers celles qui luttent au désespoir pour la pauvreté et la violence familiale en étant monoparentale et en exerçant des métiers difficiles pour subvenir à leurs besoins. Ces femmes-là sont loin derrière les feux de la rampe, mais elles brillent par leur courage et leur adversité dans un monde qui n'a d'yeux que pour les femmes à qui tout réussit sans trop d'efforts. Voilà.
Parfaitement d'accord. Quand en plus, elle a commencé à jouer à la victime... pas capable...
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