11 juin 2011

Le radotage

J'écris moins. C'est tivident comme dirait l'autre... Parce que l'actualité en éducation radote elle-même. Chaque semaine surgit un sujet de billet et je m'aperçois que j'en ai déjà parlé, que j'ai déjà écrit sur celui-ci. L'éducation est un monde qui n'apprend pas de ses erreurs, faut-il croire. Ce qui est désespérant en soi quand on y songe.

Et puis, il y a le fait que je me censure parce que mon identité au travail est assez connue.  Cela m'empêche de couvrir tout un pan de l'enseignement, quoique je commence à me dire que je devrais peut-être être moins craintif et avoir moins peur de la portée de mes réflexions, ce qui vous vaudrait quelques billets savoureux.

Enfin, tout cela pour écrire que je me refuse à radoter. Simplement.

3 commentaires:

unautreprof a dit…

Au pire, radote un peu tu sais. On n'en mourra pas.
:)

Anonyme a dit…

Si ton identité est plutôt connue dans ton milieu de travail je ne comprends pas que tu sois si craintif. Ces personnes ne connaissent-elles pas tes idées et ton franc-parler?

Sinon, comme le dit unautreprof, radote: ça nous fera quelque chose à lire.

Au fait, comment va ton vélo bleu? En parler n'a rien d'incriminant :)

gillac a dit…

Non seulement je ne vous connais pas mais en plus je ne suis pas du monde de l'enseignement. J'aime cependnt vous lire et cela me suffit. je dirais même que cela me rassure grandement de savoir qu'il n'y a pas que les bonzes du ministère ou les démarreurs de parti politique qui réfléchissent.