Il semblerait que les importantes difficultés financières de l'UQAM incitent les entrepreneurs en construction à déserter l'ilôt Voyageur. En attendant d'être payés, ils placarderont les ouvertures et espéreront que l'état des lieux ne se dégradera pas trop.
Y'a pas à dire: question de prendre de l'avance, j'imagine, on construit maintenant des écoles déjà en ruines. Only in Kwebec!
En passant, il faut voir avec quel zèle on se sert de cette crise pour appliquer un projet de réingénérie de l'UQAM. Le gouvernement - par le biais d'un comité piloté par Lucien Bouchard (tiens... tiens...) ne pouvait souhaiter plus beau prétexte pour couper certains programmes d'enseignement et réorganiser ce fleuron universitaire québécois.
2 commentaires:
Ha! Ha! Ha!
Avec des professeurs déjà en dépression nerveuse et des étudiants déjà membres de gangs de rue ou en arrêt de travail pour cause de conflit interne.
Bonne journée! Zed :)
M. Safwan me disait justement, à propos de l'îlot voyageur, que l'UQAM a envisagé de le vendre dans son état actuel, en pleine construction. Veux-tu bien me dire quel poisson voudrait bien acheter ce qui constitue déjà un important gouffre financier???
De plus, le vendre signifie évidemment une vente à perte. Vraiment, je ne suis pas fière de mon université. Heureusement que je n'étudie pas au département des sciences de la gestion, car je songerais à trafiquer mon c.v. au sortir de ma formation!
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