11 décembre 2010

Après la sexualité, l'informatique?

La sexualité est devenue, avec la réforme, une matière qui devait être intégrée dans l'ensemble des cours. Même chose avec l'informatique.

Bien sûr, le cours d'informatique pouvait parfois être associé à une récréation. On montrait à des élèves des notions que certains savaient déjà ou qui leur seraient tout à fait inutiles. À quoi sert de programmer en cobol ou un truc du genre? Développer un sens logique, d'accord. Mais sinon?

Un élément du cours d'informatique n'est cependant plus enseigné et c'est fort regrettable à l'heure où chacun de mes élèves a un portable en classe: avoir son doigté au clavier. Bien sûr, il existe des logiciels qui peuvent le leur montrer, mais très peu le savent ou les utilisent.

Je regarde donc mes élèves taper à deux doigts comme moi et je me dis que l'éducation n'a pas effectué de progrès en ce domaine en 30 ans.

À lire: ce texte de Daphné Dion-Viens

1 commentaire:

bobbiwatson a dit…

Tes élèves sont venus au monde avec une souris au bout des doigts et non avec une méthode de doigté pour le clavier. Notons que cette méthode serait un plus pour eux ... et pour toi ;) (sans rancune aucune)