Voilà ce que me répétait mon père. Il n'a jamais eu autant raison.- prime de départ en cas de démission des directeurs et adjoints des CS;
- prime de départ de plus de 150 000$ des deux administrateurs qui ont mis l'UQAM dans le trou;
- prime de rendement augmentées de 9% aux cadres des cégeps.
- le sous-ministre et les sept sous-ministres adjoints du ministère de l'Éducation se sont partagé en 2008 87 250$ en bonis au rendement.
- gel des salaires des enseignants.
Des primes au rendement? Rendement de quoi? Le MELS est en retard dans l'élaboration de ses programmes, dans l'approbation du matériel et j'en passe! Les élèves réussissent moins bien aux tests internationaux, nous sommes des analphabètes numériques et j'en passe.
3 commentaires:
Cégep, université, commission scolaire .... que faites-vous à n'être encore que des profs! Vous auriez intérêt à ne pas avoir LE vocation: eux l'ont compris!
Mais, eux,ils regretterons, au fond de leur coeur, de ne pas avoir connu les contacts humains que les humbles enseignants ont la joie et le privilège de connaître au travers des irritants de leur métier-vocation.
Prof sage, as-tu la vocation professorale ou aspires-tu à la directionnelle, celle qui donne des primes $ mais de la sécheresse émotionnelle?
Toute cette histoire des primss de départ est un scandale ehonté. Le seul cas où une prime de départ est justifiée : quand on met quelqu'un à la porte à trois jours d'avis !
Et je suggère: un mois de salaire par année d'ancienneté.
On devrait donner des primes de rendement aux élèves.Il seraient au moins aussi méritants que les fonctionnaires du MELS! Non? Avec la différence que, cette prime de rendement les renforcerait dans leur décision de réussir ou pas. Un peu comme ta fille qui se sent plus motivée parce que sa cote R a augmenté.
Il n'y a pas de sots remèdes pour motiver nos jeunes!
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