Bon, mercredi, on devrait allonger la récréation de dix minutes comme moyen de pression: . «Les élèves seront encadrés, et tout se déroulera dans un contexte heureux. Il n'y aura pas un gros impact sur les élèves. Ça va plus déranger les pratiques administratives», a indiqué la porte-parole de la Fédération des syndicats de l'enseignement (FSE-CSQ), Sylvie Lemieux.
Une question: en quoi ce moyen va déranger les pratiques administratives?
Personnellement, je déteste ce moyen qui montre à mes élèves qu'on peut couper dix minutes comme ça alors que je les veux concentrés durant toute une période. Je comprends que le contexte est heureux... surtout pour eux.
Notre front commun manque définitivement de front et est très commun.
4 commentaires:
Je me demande, moi aussi, en quoi cela pertubera les pratiques administratives...personnellement, s'il est une partie de ma tâche que je déteste, c'est bien la surveillance.
La direction ajoutera sûrement un 10 minutes aux enseignants déjà en poste à ces moments là et les autres enseignants auront une pause plus longue.
Les élèves ne se plaindront pas de ça et, au bout du compte, ce sont les enseignants qui seront pénalisés par ces minutes de cours perdues.
C,est bine pour cela que je trouve ce moyen digne de la dépression..
C'est comme la clé USB que l'on doit porter les vendredis, sans oublier son contenu qui n'est pas d'une grande utilité.
J'aurais aimé retarder les bulletins de la 2e étape, remettre mes papiers pour confirmer mes journées de maladie en retard ou bien tout simplement faire une chaîne téléphonique ou de courriels pour envoyer des messages à la DG de ma commission scolaire.
Avez-vous d'autres propositions?
J'avoue que les notes en retard paralyserait bien davantage les pratiques administratives et cette façon de faire aurait moins d'impact sur le enseignants(certains auraient plus de temps pour de taper la correction).Les courriels ou chaînes de lettres, ou messages pertinents aux DG de CS, pourquoi pas?Comme elles sont un maillon obligé de la grande chaîne alimentaire qui se termine hélas avec nous les enseignants, ne pourraient-elles pas aussi en inversant l'ordre habituel de transmission relayer nos revendications au MELS?
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