08 avril 2007

À la demande générale: Potvin 2!

Je ne peux me retenir. C'est plus fort que moi. Plus fort que la montée de la sève et la poussée des bourgeons au printemps! Plus fort que mes hostas qui montrent enfin le bout de leurs tiges!

Madame Potvin est définitivement inspirante. Lisez sa chronique du 5 mars dernier qui traite d'un sujet majeur en éducation au Québec. Vous serez subjugué. On dirait du Mailloux à son meilleur...

La petite culotte et sa démarcation...

N'ayez crainte, je n'ai pas changé de rubrique ou de thème dans le blogue. Aujourd'hui je veux vous parler d'une situation vécue par une mère qui a été outrée et ce avec raison par un règlement (si on peut l'appeler ainsi) auquel sa fille de 8 ans a dû se soumettre lors de son cours de danse dispensé en activité scolaire choisie au sein d'une belle école PRIVÉE et réputée.

La petite de huit ans est arrivée de l'école un soir en disant à sa mère qu'elle n'aimait pas ses cours de danse à l'école parce qu'elle devait retirer sa petite culotte puisqu'elle n'avait pas le droit de les garder sous son maillot.
La mère indignée demanda à sa fille pourquoi elle ne pouvait pas les porter. "C'est parce qu'on voit la démarcation de la petite culotte et ça ne fait pas beau.""Qui vous a dit cela?""C'est ma professeure de danse."

La mère ayant peine à se contenir a dû écrire à la direction de l'école pour que ce règlement absolument inconcevable soit retiré car la direction ne semblait pas en faire une priorité. Après on se demandera pourquoi nos jeunes filles se remettent en question constamment sur leur apparence et sur l'image qu'elles projettent. Honnêtement, j'aurais honte à la place de la direction de l'école et de la professeure de danse... Que de manque de jugement et de psychologie... Pourtant, cette jeune fille devrait fréquenter ce qu'il y a de mieux comme institution scolaire.... puisqu'elle va à l'école privée.

Comme quoi, argent, privatisation et prestige ne riment pas toujours avec besoins de l'enfant et qualité des services éducatifs. Alors mesdames... faites attention à votre démarcation de petite culotte, vous pourriez perdre votre emploi, vos amis voire même votre conjoint... qui sait? C'est tellement important!


Au départ, j'aurais eu envie de vous convier au Jeu des dix erreurs, question de s'amuser à relever les erreurs de ponctuation de l'accompagnatrice scolaire du Journal de Mouréal, mais pourquoi ne pas plutôt varger dans l'essentiel?

Je peux être dans l'erreur, mais un cours de danse parascolaire a un lien direct avec les yeux du spectateur et l'apparence, surtout si on a l'intention de monter un spectacle de fin d'année. Les costumes de scène sont donc importants. Un truc qui ne fait pas beau prend généralement le bord. Reste à définir le beau, mais la prof de danse doit en avoir une certaine idée professionnelle ou ne serait-ce que personnelle.

La maman de la jeune fille vestimentairement ostracisée à peine à contenir sa rage devant ce règlement «inconcevable». Elle écrit alors à la direction d'école. On apprend avec effroi que cette dernière ne se faisait pas une priorité de le retirer. Honte! Quel manque de jugement et de psychologie! Et pourtant, on est au PRIVÉ, comme si la bêtise n'était pas universellement répandue ou variait selon le compte de banque.

Personnellement, je me sens réconforté de savoir qu'il existe des écoles où la démarcation des petites culottes en danse parascolaire n'est une priorité. Ça me rassure, je ne sais pas pourquoi... Là où je suis plus inquiet, c'est lorsqu'une mère-reine et une chroniqueure perdent temps et énergie à contester un prof sur un sujet qui ne vaut pas autant de papier et de salive. J'imagine l'enfant au coeur de tout ce conflit.

Je suis convaincu que ce professeur de danse mérite le bûcher parce qu'elle participe activement à ce grand complot qui vise à dénigrer les femmes quant à leur apparence physique, au même titre d"ailleurs qu'une maman qui achète des vêtements griffés à sa fille ou qu'une accompagnatrice scolaire qui fait la pause pour une photo illustrant sa chronique.

Quant à la conclusion du texte de madame Potvin, on peut mettre le propos qu'on y retrouve sur le compte de l'ironie, mais je voudrais rassurer la gent féminine: la connerie est un facteur de divorce et de congédiement bien plus important que la démarcation de la petite culotte. Il est dommage que le Journal de Mouréal ne s'en aperçoive pas encore...

PS: Désolé pour l'illustration scabreuse et inconvenante, mais je me disais que ça nous mettrait dans l'ambiance.

Pour s'exalter davantage:
http://www.blogue.canoe.com/blog=13&author=75&page=1&disp=posts&paged=3

20 commentaires:

unautreprof a dit…

Ici, je suis partagée.

Je ne crois pas en effet que cela méritait l'attention d'une journaliste (euh... d'une chroniqueure... d'une fille qui aligne des mots dans une phrase.)

Sur le fond, je trouve aussi désolant cette situation, la démarcation de la culotte me semble bien inoffensive.

Mais, comme pour le p'tit Félix, je ne conçois absolument pas les bienfaits de publier ce genre de nouvelle. Cette divergence d'opinion pourrait être réglée plus simplement. La maman n'est pas d'accord? Qu'elle retire sa fille du cours et qu'on n'en parle plus!

Me semble!

Le Prof a dit…

Malheureusement, unautreprof, il semble bien que le recours aux médias soit LA SEULE façon aujourd'hui de régler des problèmes, même pour des considérations aussi futiles que celles-là... (oups, j'abuse des points de suspension comme Mme Potvin!)

Si les petites filles s'habillaient avec des t-shirts Ocean Pacific X-Large comme j'en portais en 1989, on n'aurait pas ce problème-là! ;)

Le Prof a dit…

Et je me permets d'ajouter:

"Pourtant, cette jeune fille devrait fréquenter ce qu'il y a de mieux comme institution scolaire.... puisqu'elle va à l'école privée."

Sans commentaires.

unautreprof a dit…

@la prof

hahaha...
"Pourtant, cette jeune fille devrait fréquenter ce qu'il y a de mieux comme institution scolaire.... puisqu'elle va à l'école privée."

De quoi me faire mourir de rire dans mes moments de sombre déprime.

Le professeur masqué a dit…

À vous lire, je comprends que Mme Potvin devrait être humoriste.

unautreprof a dit…

Voilà!
Une autre qui a raté sa vocation.

Eh bien...

Marie-Piou a dit…

Question pour Mme Potvin...
L'école nationale de l'humour : privée ou public?

Ils vont la prendre sans audition.

Anonyme a dit…

Je suis d'accord avec la petite fille et sa maman. C'est une question de pudeur et de respect des besoins de l'enfant, qui les exprime elle-même, à l'heure ou bien des petites filles réclament des G-string ou laissent dépasser le peu de sous-vêtements qu'elles portent en dehors de leurs jeans, montrant déjà la craque du plombier.

Je ne suis pas d'accord avec l'hypersexualisation des jeunes filles, encore moins des petites filles.

Bien sûr, je ne suis pas d'accord avec la médiatisation de tous ces problèmes. Mais si on n'y prend garde, nous allons nous élever contre de vrais problèmes juste parce que quelqu'un a eu la mauvaise idée de s'adresser à la mauvaise tribune.

Solution possible : que la prof propose un caleçon décent qui satisfera aussi son souci d'esthétique, pour le spectacle de fin d'année. D'ici là, foutre la paix aux petites filles, qui développent, quand elles sont éduquées normalement, une pudeur et un sens de l'intimité qui les protègent un peu de l'exploitation et des agressions sexuelles, en apprenant que leur corps leur appartient et en sachant placer leurs limites. Pour avoir beaucoup fréquenté le milieu de la danse, la pudeur, ce n'est pas là qu'on la trouve. Entre adultes consentants, ce qu'on s'en fout! Ici, ce sont des petites filles. Manque de jugement et d'empathie pour le développement psychologique et social de l'enfant, quant à moi.

Voyez-vous, je crois que ces chroniques sont populaires parce quelles adressent souvent de véritables problèmes, (mauvais endroit) ou en distortionnent d'autres pour qu'ils aient l'air de vrais problèmes. Ça joue avec les sentiments des parents et le tour est joué, le journal se vend, la cote d'écoute monte.

Des madames pas de culottes portant des pantalons plutôt transparents, j'en suis bombardée dans mon coin, sauf l'hiver. Je vivais pas mal mieux avec une démarcation. On repassera pour l'esthétique et l'hygiène. Soit dit en passant.

Mon opinion! Zed ;-)

Anonyme a dit…

Comment se fait-il qu'on conserve à leur poste des personnes dépourvues de jugement ?

Le professeur masqué a dit…

Zed:

Les opinions divergent et ça me va bien. On apprend et on voit d'autres facettes du problème. Je savais, en rapportant ce sujet, que ça serait un peu plus polémique et moins tranché. La démarcation serait moins nette...

Oui, effectivement, il y a une question de pudeur de l'enfant et il aurait peut-être fallu que la prof en tienne compte.

Cependant, je ne pense pas ici qu'on doive parler d'hypersexualisation. Le concept ne s'applique pas vraiment. La prof de danse a agi de la sorte pour des raison d'esthétique. Je ne crois pas qu'elle voulait transformer ces jeunes filles en poupounes indécentes quand même!

D'un autre côté, de là à en être outrée et à écrire à la direction de l'école. Je ne sais pas, mais je me demande si la mère écrira aussi une lettre au ministre quand elle s'apercevra que sa fille ne sait pas écrire et a réussi son examen du MELS... Peut-être les parents sont-ils dépassés par les véritables débats en éducation et s'accrochent après des sujets plus communs? Je ne sais pas.

Par contre, de reprocher à la direction de l'école de ne pas faire une priorité de cette question me semble aussi indiquer un comportement proche du parent gâté.

Compte tenu de l'état de l'éducation, je trouve seulement qu'il faut choisir ses batailles. Remarquez, cette mère a fait son choix: elle a envoyé sa fille au PRIVÉ.

Enfin, il y a tous ces jugements faciles et émis sûrement sans avoir parlé à la prof et à la direction concernées, il y a toutes ces remarques sur l'école privée qui ne sont pas innocentes.

Désolé, il existe peut-être des circonstances atténuantes, mais Mme Potvin a tout du gérant d'estrade.

unautreprof a dit…

Zed : Je faisais du ballet plus jeune et nous ne portions pas de culotte, pour éviter justement la démarcation.
Autre temps, autres moeurs, personne n'y voyait de l'hypersexualisation.
De nos jours, il est vrai que ce genre de situation inquiète, vu l'hypersexualisation. Je peux comprendre la mère et le malaise de la fille. Il est certain que moi, si j'étais la mère et que ma fille ne voulait pas retirer sa culotte, j'en parlerais avec la dame et si la dame n'était pas d'accord, je la retirerais du cours. Elle n'y serait pas forcée.

Mon problème est le medium utilisé. Je ne vois absolument pas en quoi cela est aidant pour la petite fille en question (qui n'est pas nommée mais vous savez comme moi comment c'est... dans son entourage immédiat dans son école privé, ça se saura).

Il est certain que nous prenons peut-être un plaisir (un peu malsain)à se défouler "sur" Mme Potvin que plusieurs de profs ici n'aiment pas. Mea culpa? J'assume!
Mais sérieuseument, elle n'est pas des plus crédibles et son abus des points de suspension, ayoye!

Hortensia a dit…

Sur le fond du litige, je suis assez en accord avec Zed: je ne vois pas la nécessité de faire enlever leur culotte à de petites filles, même, et surtout, pour des considérations esthétiques. L'important, c'est qu'elles dansent, pas qu'elles soient belles dans leur costume. M'enfin...

Quant à votre gérante d'estrade préférée, je suis d'accord avec vous, c'est pathétique sur le plan de l'argumentation et de la langue, sans compter qu'elle tombe continuellement dans la démagogie la plus crasse. En fait, elle ne réussirait même pas l'Épreuve uniforme de français du collégial avec ce texte. ;-)

Anonyme a dit…

Je vois ici trois débats véritables :

1- l'approche pédagogique et le jugement de la professeure dans un contexte de croissance individuelle et dans le contexte social

2- la médiatisation extrême des conflits qui normalement devraient être réglés sur le plan local. Pourquoi, qui sa sert, comment : une analyse s'impose. La société devient un sport extrême, une histoire en direct, une télé-réalité. (Et on va regarder en mangeant des croustilles et un buvant une petite bière?)

3- la manière d'adresser les véritables débats. Je constate qu'au Québec, c'est un trait culturel que de les éviter pour leur préférer les critiques acerbe de la personnalité, de l'apparence physique, de ci, de ça, où ci et ça remplacent tout ce qui peut servir à éviter la véritable discussion.

L'un des traits culturels de la nation québécoise (ça se change, si on s'en donne la peine) est de craindre les conflits et de les craindre à un point où la difficulté de discerner entre débat d'idées (à fond) et rejet des personnes n'est pas souvent abordée. Et les conséquences sont à mon avis très importantes.

C'est sûr, c'est chouette de se sentir en accord (imaginons un véritable accord : nirvana, sans doute!). C'est un instinct animal qui remonte à la nuit des temps que cette liaison entre instinct grégaire, sentiment d'appartenance au groupe, sécurité.

Et quand ça va mal, on espère ne pas être la personne qui sera exclue. Car oui, il en faut, régulièrement pour assurer la « paix sociale », nécessaire à la survie du groupe.

On passe ainsi d'un bouc émissaire à un autre et en se déchargeant de l'émotion négative rattachée au débat à peine occulté, quand il l'est, sur un/e autre, on retrouve une sorte de consensus social temporaire, bien fragile, puisqu'il repose sur des bases jamais vraiment définies. Vite sous le tapis.

C'est peut-être l'une des raisons pour lesquelles les véritables débats sont si souvent médiatisés maintenant. Trop de sourdes oreilles quand on veut régler quelque chose, d'une part, et d'autre part, l'appât du sensationnalisme, du « moment de gloire ». Être connu, être « reconnu ».

Il y a aussi du désespoir dans cette manière de faire. Un véritable débat, ça ne se mène pas tout seul. On se sent vite impuissant face aux structures « inaccueillantes » et qui vont elles aussi, via leurs garde-corps, avoir le réflexe du « vite, vite sous le tapis » (on veut pas de trouble), protégeant intérêts personnels, pouvoir, salaires, etc.

Pour revenir à la danse, bien qu'évoluant dans le milieu de l'art actuel, j'ai aussi connu des danseurs de ballet (il y e a en danse actuelle). Et des danseuses.

Un milieu où il y aurait définitivement beaucoup à dire et à analyser sur le plan de l'estime de soi et de la sexualisation, du sexisme. C'est vrai, la société change.

Ce débat, l'hypersexualisation, la protection des enfants, particulièrement des petites filles, a été adressé par quelques braves. Je pense à Madame Nathalie Simard, à titre d'exemple, et je sais que plusieurs ici auront le réflexe, encore, d'oublier le débat, de regarder le poids, l'apparence de cette dame, sa carrière, ses chansons, etc. DÉBAT. Comme individu, elle a posé un geste de bravoure incroyable.

On a déjà mis de côté la plupart des réformes proposées par la CEQ à une époque où les débats sur le sexisme avait joué un rôle important mais malheureusement, n'avait pas trouvé beaucoup d'endosseurs ou plutôt d'endosseuses, elles-mêmes très souvent assez prises dans les stéréotypes de l'époque. On a passablement jeté la serviette.

Et la culotte avec! ;-)

Que faire contre l'image, la pub, les vidéos, les jeux, les téléromans, les vedettes, bref vous voyez...

Je ne la connais pas, Madame Potvin. Je pense qu'elle doit tenter de répondre aux exigences de son travail de chroniqueuse dans un journal populaire/iste et ma foi, elle y réussit puisqu'elle fait parler et lire, qu'elle provoque cette décharge d'émotions négatives faisant oublier dans bien des cas, les débats, qui eux, restent à faire.

Non, ce n'est pas une considération futile, et en effet, où sont, quels sont les recours? Retire son enfant du cours, de l'école? Pas de tort à l'enfant, là dedans? On lui dit, qu'on n'est pas prêt à prendre sa défense, que ce qu'il ressent est faux, qu'il est stupide, quoi. Le mettre sur la sellette? Bien sûr, ça ne va pas non plus.

Qui a une petite fille ici ou un petit garçon, même si la situation est moins fréquente, et aurait le cœur (ou le sans cœur) de lui demander de retirer sa petite culotte pour des raisons d'esthétisme? Il n'y a rien qui vous gratte un peu là dedans? Un caleçon règlementaire, tandis que les Québécois vont aller mettre leurs culottes, leur jupe, leurs habits et débattre. Peut-être.

Zed

Anonyme a dit…

(...)les débats sur le sexisme avaient joué un rôle important(...)

Désolée ;-)

Mme Prof a dit…

OH MY GOD!!! Je ne sais pas si certains d'entre vous sont allés lire le texte, mais surtout les commentaires, reliés à ce post.
Je pense que Madame Potvin manque de savoir-vivre... Je vous démontre...

Un usager écrit sur son blog :
Commentaire de: S. D.
quand est-ce que les gens vont comprendre que pour chaque discipline sportive, artistique etc...il y a des règles...pas de bijoux ou de voile en sport..costume de mise pour la danse...arrêtons de nous sentir''contrôlé''...quand quelqu'un vient dans notre maison, il doit s'adapter à nos habitudes. Si nous allons ailleurs, chez nos voisins, dans un cours ou à l'école, nous devons faire de même..un peu de bon sens..vous avez déjà vu une danseuse avec des bobettes sous son costume?

(je ne passerai pas de commentaire sur le bien ou non de son commentaire... mais en tant que chroniqueure, je me serais attendue de Madame Potvin à autre chose comme réponse que (coquilles et fautes incluses!): )

Réplique de C. Potvin:
S.D...nous nous cotiseront tous afin que vous alliez vous achetez une martière grise (...)C'est ok ....à partir de maintenant tout le monde qui viendront me visiter devront se mettre tout nuéééési je respecte votre fa^con de penser.
Vraiment pas fort...désolée mais ce n'est pas avec des réflexions de la sorte que nous construiront un monde équilibré pour nos enfants...En passant si je vais chez mes voisins et qu'ils me disent que je dois fumer un joint pour rester sur leur perron...et bien bye bye la visite je m'en vais et je dresse une clôture de 10 pieds entre mon terrain et le leur.(...)



J'ai simplement envie de répondre à Madame Potvin : pas étonnant que les bonnes manières se perdent avec des intervenants... oups "prof"-parent-journaliste en herbe (comme elle se plait à se nommer elle-même) qui réagissent ainsi!

Le professeur masqué a dit…

À la marâtre:

Honnêtement, je ne me sentais pas le courage de lire les commentaires attachés au blogue de Mme Potvin.

Je dois vous avouer que l'exemple que vous citez est pour le moins consternant.

Je commence à me demander si on ne devrait pas se plaindre au JdeM de façon collective. C'est désolant de voir la façon dont cette personne utilise la tribune qui lui ets offerte. Et je ne parle même pas de la qualité du français de ses billets!

Anonyme a dit…

J'ai fait du ballet de nombreuses années.Évidemment les culottes ne se portent pas en dessous du collant car c'est tres apparent.J'ai toujours été tres a l'aise dans ma tenue de danse meme si je suis tres pudique.Que voulez-vous, qu'ont voit sa culotte(quel qu'elle soit)jusqu'a la 4e rangée de spectateur?Ce n'est pas ce que j'appelle respecter une enfant!
Je trouve plus respectueux de lui apprendre a s'habiller selon la température et les circonstance.

En passant, un collant de danse-un vrai- a une doublure a l'intérieur comme un maillot de bain.Et est aussi opaque qu'un legging.

Le professeur masqué a dit…

Melbo: ce que vous dites ajoute un éclairage simple à tout ce débat. Définitivement, Mme Potvin...

LynneCW a dit…

Dans le fond, ne publiez pas mes commentaires... mais servez-vous en! << la maman vestimentairement ... à peine à contenir sa rage >>. Le premier à est le verbe avoir... donc pas d'accent grave!

Et non, je ne suis pas maniaque du français écrit, mais juste une linguiste complexée :P.

Le professeur masqué a dit…

Madame Lynne: encore merci de votre lecture de mon blogue!

Au risque de vous surprendre, je me refuse à remanier ce qui est écrit. Par ailleurs, je suis convaincu que vous n'êtes pas une linguiste complexée!