L'individu est peut-être sympathique, mais avouez que vous avez de la difficulté à le suivre. Un jour, il traite le Journal de Montréal de torchon, l'autre, il lui donne une entrevue. Et il faut lire ces extraits du texte de Michelle Courdé-Lord:
- «... même si des gens ont essayé très fort de créer une guerre entre le Journal et Joël Legendre, rien de tout cela n’existait.»
- «je n’ai jamais voulu que ce (mon homosexuaité) soit mis de l’avant, de peur que ça me nuise.»
- «Moi (la rédactrice de ce texte), j’ai eu droit à l’homme de 44 ans, rassuré, qui venait de recevoir une vague d’amour incroyable de la part du public, comme jamais il n’aurait pensé en recevoir une un jour.»
Un petit hic, c'est que cette vague d'amour, il ne l'a pas reçue parce qu'il est homosexuel, mais plutôt parce qu'il s'estimait victime d'un viol de la part du JdeM. Pensez-vous sérieusement qu'il aurait reçu la moitié du quart du cinquième des encouragements qu'on lui a destinés s'il avait simplement quitté le garde-robe? J'en doute.
1 commentaire:
Je suis déchiré entre 2 sentiments: l'inconfort envers celui qui mange à tous les rateliers ou encore l'empathie envers l'artiste qui ne bénéficie d'aucune sécurité de revenu, contrairement à tous les travailleurs de l'état (qui oublient cet immense privilège).
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