Sortie du premier ministre du Québec sur le rôle des parents quant au décrochage scolaire: «chaque fois que la question du décrochage scolaire est soulevée, on vise les commissions scolaires, on vise les professeurs, on vise les politiciens. Mais on oublie les acteurs les plus importants: les parents».
7 commentaires:
Tu l'as contaminé? Si c'est le cas tu devrais le faire plus souvent :)
Juste contaminer la ministre de l'Éducation serait un début...
Le problème ce n'est pas le premier ministre, ni le ministre, ni le ministère, ni la commission scolaire, ni l'établissement, ni l'enseignant, ni l'étudiant, ni ses parents.
le vrai coupable
Bon sang, après toutes ces années qu'on décrie cette problématique...il vient d'allumer notre bon Premier Ministre!
Il était où ces 8 dernières années?
Quand est-ce que les parents vont allumer eux aussi????
PM, un petit commentaire sur la Comm. Scol. des Patriotes et leur brillantes idée de se construire un immeuble neuf pour les pauvres 'ti fonctionnaires!?!?
C'est qu'il sait qu'il ne fera pas d'autres mandats. Après toutes ces années, à la veille d'un départ qui ne saurait tarder, il n'a plus de parents électeurs à perdre.
Que de commentaires face à ce commentaire du PM! Ce ne sont ni les parents, ni les enseignants, ni les politiciens qui sont directement responsables du décrochage scolaire. Les nombreuses réformes imposées depuis plusieurs années au nom de je ne sais quelle lubie n'ont en rien aidé à stimuler nos décrocheurs.
Les jeunes ont besoin d'avoir comme modèle des personnes "en autorité" (relativisons).
Comment voulez-vous qu'ils prennent leur parents en exemple quand ceux-ci ne sont pas capables de dire NON à leurs enfants en bas âges.
Je vous invite à lire un commentaire envoyé à Louise Deschâtelet (dans le JdM) où on mentionne un père qui regarde sa fille de 3 ans faire le bacon depuis une heure, impuissant, dépassé.
Recentrons notre société sur de vraies valeurs et peut-être, je dis bien peut-être, réussirons-nous à "intéresser" nos gars à l'école.
Ça se faisait dans les années 50 et 60 et le taux de décrocheurs n'était pas aussi élevé qu'aujourd'hui.
Rendons-nous à l'évidence: pour une fois Charest a réussi à susciter des réactions populaires.
Naturellement, c'est Line qui devra "dealer" avec les réactions: mais je pense qu'elle connaît déjà pas mal la problématique.
C'est dans l'air, j'ai lu la même chose dans un commentaire sur Pour une école libre : c'est en partie la faute des parents (ce qui n'est pas faux, mais bon ces parents sont déjà les fils de la Révolution tranquille et de sa merveilleuse école).
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