À mort l'innocent! (Athur Tenor): dans un petit village français, un jeune élève est retrouvé assassiné. Immédiatement, les regards se tournent vers le nouvel instituteur qui a les défauts d'être nouveau dans le patelin et homosexuel. Récit court , sans morale ou prêchi-prêcha. Pourrait aisément avoir une valeur pédagogique ou éducative. (8,0 sur 10)
Le pays dans le pays (Francine Chicoine et Serge Jauvin): un beau livre de photos, comme je les appelle, et qui porte sur la Côte Nord, la Minganie et la Gaspésie. On aime ou on n'aime pas, ne serait-ce qu'à cause du sujet principal. Moi, j’ai adorrrrrré! (8,5 sur 10)
La septième femme (Frédérique Molay): un inspecteur de police se retrouve confronté devant un meurtrier en série qui promet de le briser et qui s'en prend à son entourage. Ce roman n'a pas mérité le prix du quai des Orfèvres pour rien, Rythme soutenu, rebondissments fréquents. Pas de la grande littérature, mais un bon moment de détente. (8,5 sur 10)
Tijuna mon amour (James Ellroy): le rédacteur en chef d'un magazine à scandales tente de prouver que Frank Sinatra a versé des pots-de-vin afin de promouvoir illégalement le disque d'une lascive chanteuse dont il serait épris. Lire Ellroy, c'est simplement croire qu'il est possible d'écrire un roman sous l'influence de la drogue. Deux mots pour décrire ce roman: totalement disjoncté. (8,0 sur 10).
Condor.net (James Grady): un informaticien de la CIA est mêlé à un complot dont il comprendra les enjeux machiavéliques au fur et à mesure de sa survie. Ce court roman est une curiosité puisqu'il reprend à la sauce 2007 ce qui fut l'éclatant succès Les trois jours du condor. À lire en comparant avec l'oeuvre originale. (7,5 sur 10)
Les démons des temps immobiles (Dan Chartier): Le commissaire Marac est de retour dans une aventure ou se mêlent nazisme, rouleaux de la Mer morte et mystérieux crânes de cristal. Récit intéressant et même instructif dans certaines disgressions. Seule la finale donne un goût amer à ce roman qui met en scène un personnage bien défini et que je tenterai de retrouver dans d'autres oeuvres. (7,5 sur 10)
L'affaire Tissot (Raymond Ouimet): sans être historien, l'auteur se penche sur un épisode peu glorieux de l'histoire du Québec ou le nazisme trouvait un écho favorable auprès d'une certaine frange de la population. Ouvrage nécessaire pour ne pas oublier l'innommable. (pas de cote)
Le pays dans le pays (Francine Chicoine et Serge Jauvin): un beau livre de photos, comme je les appelle, et qui porte sur la Côte Nord, la Minganie et la Gaspésie. On aime ou on n'aime pas, ne serait-ce qu'à cause du sujet principal. Moi, j’ai adorrrrrré! (8,5 sur 10)
La septième femme (Frédérique Molay): un inspecteur de police se retrouve confronté devant un meurtrier en série qui promet de le briser et qui s'en prend à son entourage. Ce roman n'a pas mérité le prix du quai des Orfèvres pour rien, Rythme soutenu, rebondissments fréquents. Pas de la grande littérature, mais un bon moment de détente. (8,5 sur 10)
Tijuna mon amour (James Ellroy): le rédacteur en chef d'un magazine à scandales tente de prouver que Frank Sinatra a versé des pots-de-vin afin de promouvoir illégalement le disque d'une lascive chanteuse dont il serait épris. Lire Ellroy, c'est simplement croire qu'il est possible d'écrire un roman sous l'influence de la drogue. Deux mots pour décrire ce roman: totalement disjoncté. (8,0 sur 10).
Condor.net (James Grady): un informaticien de la CIA est mêlé à un complot dont il comprendra les enjeux machiavéliques au fur et à mesure de sa survie. Ce court roman est une curiosité puisqu'il reprend à la sauce 2007 ce qui fut l'éclatant succès Les trois jours du condor. À lire en comparant avec l'oeuvre originale. (7,5 sur 10)
Les démons des temps immobiles (Dan Chartier): Le commissaire Marac est de retour dans une aventure ou se mêlent nazisme, rouleaux de la Mer morte et mystérieux crânes de cristal. Récit intéressant et même instructif dans certaines disgressions. Seule la finale donne un goût amer à ce roman qui met en scène un personnage bien défini et que je tenterai de retrouver dans d'autres oeuvres. (7,5 sur 10)
L'affaire Tissot (Raymond Ouimet): sans être historien, l'auteur se penche sur un épisode peu glorieux de l'histoire du Québec ou le nazisme trouvait un écho favorable auprès d'une certaine frange de la population. Ouvrage nécessaire pour ne pas oublier l'innommable. (pas de cote)
L'exilé (Allan Folsom): un inspecteur de la police de Los Angeles est confronté à un tueur sans remord dans une saga internationale qui le mènera à Londres et à Moscou avec pour fond d'intrigue une lutte monarchique. La première partie du roman est enlevante et captivante, mais la seconde s'essoufle et sombre dans quelques invraisemblances qui gâchent ce qui aurait pu être un excellent roman policier. (7,5 sur 10)
Dernières nouvelles des oiseaux (Érik Orsenna): un groupe d'élèves français prisonniers d'une île déserte mettent en commun leurs qualités personnelles pour se tirer de ce mauvais pas. Les amateurs de renouveau pédagogique seront comblés. On dirait un livre écrit sur mesure pour la pédagogie par projet et rempli de bons sentiments rose bonbon. J'ai aimé les oeuvres précédentes d'Orsenna, mais là... (J'aime mieux pas mettre de cote)
Dernières nouvelles des oiseaux (Érik Orsenna): un groupe d'élèves français prisonniers d'une île déserte mettent en commun leurs qualités personnelles pour se tirer de ce mauvais pas. Les amateurs de renouveau pédagogique seront comblés. On dirait un livre écrit sur mesure pour la pédagogie par projet et rempli de bons sentiments rose bonbon. J'ai aimé les oeuvres précédentes d'Orsenna, mais là... (J'aime mieux pas mettre de cote)
10 commentaires:
Prof masqué,
Tu sais l'horloge tordue juste en bas?
Voici le temps tel qu'apprivoisé par le Prof masqué
La lecture rapide, c'est dépassé. Vive le Prof masqué!
Zed :)))
Le Molay me tente. Si jamais je trouve le temps de lire à travers la folie du début de l'année, je me jette dessus!
Zed: l'horloge est un modèle qui s'appelle fort justement Dali. Le plus rigolo, c'est qu'après l'avoir utilisée, j'ai remarqué que la Peste l'avait fait bien avant moi!
Safwan: ne va pas à la librairie ou tout ça: je te le passerai ou je te l'enverrai par courrier interne! Un livre qui dort dans une bibliothèque est un livre mort. Moi, je te pousserais vers le Pagnol. Tellement beau les pages sur l'enseignement!
Ça, c'est vos lectures des 3 derniers jours? ;-) Je vous taquine, car je suis fascinée par votre capacité et votre vitesse de lecture, je vous l'ai déjà dit.
Pagnol, ah Pagnol! C'est vrai que c'est de toute beauté comme oeuvre. Vous me donnez envie de la relire tiens...
Sinon, je n'ai rien lu d'autre dans votre liste. Bordel, j'ai l'air de quoi, moi, prof de littérature mal chaussée!
Orsenna, je ne suis pas trop fan, mais j'ai envie de lire La grammaire est une chanson douce dont on m'a dit le plus grand bien. Il est dans mon interminable liste de livres à lire.
Merci pour les bonnes suggestions, Prof Masqué!
J'adore Pagnol aussi. Il y a 3 ans, je suis allée en Provence, j'aurais tellement voulu rencontrer César, Marius et Fanny. :-)
J'attends la livraison...lol
En passant, je trouve que c'est une excellente idée de publier d'abord dans un billet les petites critiques de livres que vous mettez dans la colonne de droite de votre blogue. Elles sont mieux mises en valeur comme ça et on ne peut pas ne pas les voir. :-)
Hortensia: j'ai ralenti le rythme un peu parce que je fais des rénovations à la maison. Puis, je suis sur un roman extrêmement plate. C'est moins motivant.
Pour le reste, je lis beaucoup de «junk», alors il est normal que certains titres ou auteurs ne vous disent rien.
«La grammaire est une chanson douce» est très bon, mais on dirait que le reste va en s'étiolant.
Merci du commentaire sur la façon d'annoncer les nouvelles lectures potagères. Le but visé est atteint!
Souimi: j'espère que votre déception n'a pas gâché votre voyage.
Safwan: livraison partie!
Merci beaucoup! J'ai reçu le roman aujourd'hui, juste à temps pour le long congé. Je te le retourne par courrier interne dès que terminé.
Effectivement, très bon moment de détente que La 7e femme. Roman policier classique, mais efficace: j'y ai passé mon samedi, après tout! J'ai trouvé le début ordinaire, mais c'est une excellente suggestion =) Retour par courrier dès mardi.
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