30 août 2012

Anglais intensif: le PQ et la CAQ en défaveur

Tant la CAQ que le PQ ont indiqué aujourd'hui que l'instauration obligatoire de l'anglais intensif en sixième année du primaire n'était pas une mesure qu'ils partageaient. Pour les deux formations politiques, il revient à chaque école de statuer en la matière. Bref, le 5 septembre au matin, les probabilités sont grandes que le prochain gouvernement, qui ne sera pas libéral, mette la hache dans cette idée.

Le Soleil rapportait également que le critique en éducation du Parti québécois, Sylvain Gaudreault, n'était pas surpris d'apprendre que «des enseignants veulent déserter la sixième année.»

Pffff... ça fait des mois qu'on le mentionne ici, tsé.



5 commentaires:

Anonyme a dit…

Yééééééééé !

Il y en a qui semblent avoir compris (bien que la CAQ ne comprenne pas de très très nombreuses réalités du monde de l'éducation).

Anonyme a dit…

C'est sûrement la distance entre Montréal et Québec qui fait que monsieur Gaudreault n'était pas au courant "que des enseignants veulent déserter la sixième année". Il y a un très grand décalage horaire entre les deux régions.

Anonyme a dit…

Malheureusement, il est trop tard pour deux enseignantes de sixième année très passionnées...

Paola ;)

Anonyme a dit…

Telllllllllement contente!!!!!!! :)

Surtout qu'à mon école, notre façon de faire fonctionne bien! Les élèves ont 2h30 d'anglais une journée par semaine. Évidemment, ils ne sont pas bilingues, mais cette façon différente de faire les aide beaucoup. Ils sont meilleurs en anglais que les autres élèves du secteur. Les parents apprécient beaucoup notre formule. La seule différence pour moi, c'est que je dois enseigner l'art dramatique!

Ça fait ma journée de lire ça!!!

Annie

unautreprof a dit…

C'est une bonne nouvelle!
La sixième au primaire c'est déjà bien exigeant avec les corrections, les classements et les groupes souvent nombreux. Les bons profs qui y sont et y restent seront contents aussi.