Belle tranche de ... de la part de Pauline Marois qui explique que le fait qu'elle soit une femme nuit à son ascension vers le pouvoir. Ah bon?
Désolé mais pour moi - celle qui dit détester se poser en victime - joue exactement à cela. Il ne pourrait pas lui venir à l'idée que c'est son parti qui la tire vers le bas, que sa feuille de route «impressionnante» aux ministère de l'Éducation et de la Santé est tout sauf impressionnante ou encore que ce n'est la femme qui dérange les Québécois mais Pauline elle-même?
Mais là ou elle en rajoute, c'est quand, tout en se disant obligée de tenir compte des stéréotypes sexistes, elle affirme à La Presse qu'elle «est persuadée que les femmes, une fois au pouvoir, se comportent différemment des hommes - et mieux. Ces femmes ont un style de gestion plus conciliant, et ont démontré qu'elles savaient être «plus près du quotidien» des gens, plus sensibles à leurs besoins, dit cette mère de quatre enfants, reprenant en cela la rhétorique traditionnelle du mouvement féministe.»
Ah bon? Alors, Monique Jérôme-Forget, c'était une homme?
Désolé, mais ce sont des préjugés purement sexistes et des généralisations abusives au même titre que les femmes ne savent pas conduire et sont incompétentes pour tenir un marteau.
4 commentaires:
Moi, ce qui me fatigue avec Pauline Marois, ce n'est pas qu'elle soit une femme, mais qu'elle soit Pauline Marois!
La conciliation de la Modame a permis de laisser Bisaillon et Inchauspé et leur réseau de psychopédagogo de faire ce qu'il voulait et ils ont pu nous imposer leur réforme et révolution pédagogique sans aucune discussion entre les différents intervenants des milieux éducatifs. Pour ma part le respect des gens priment sur la conciliation avec les loups.
Bon, par ailleurs, qui n'est pas sexiste? Avec les hommes sont ci et les femmes sont ça, tout le monde a sa petite théorie, non? Évidemment, on a pas tous la même!
Franchement, le sexisme est un concept qui m'énerve, mais bon j'imagine parce que les gens s'influencent surtout s'ils passent dans les médias ou parlent dans une école, avoir les théories de toujours les mêmes à la télé, ça peut créer peut-être, peut-être je dis bien, dans certaines conditions répétitives, des perceptions qui orientent tendancieusement les esprits. Mais bon, j'ai remarqué qu'on peut offrir de la femme des images positives et pas l'inverse à répétition et des images d'homme négatives sans trop de problème...
S'il fallait avoir des théories ou généralisation qui soit toujours à 100% vrais, personne n'en aurait.
Les généralisations sont des réflexes permettant de se représenter la réalité et de la gérer. On ne peut s'en empêcher. Regarder les enfants, c'est réflexe et amusant aussi. Avec l'expérience et peut-être un peu d'éducation, on apprend à nuancer la réalité , mais ça c'est une autre histoire!
J'irai peut être en accord avec la Marois que globalement les femmes cherchent plus à arranger les choses, mais bon je ne suis pas sûr que ce soit toujours au mieux!
Un marteau? Aahh oui, un marteau.
On s'en sert pour visser des vis.
Tout le monde sait ça!
Ppfft.
Jonathan: mais non! mais non! Madame marois tient à ce que tu ne l'aimes pas parce qu'elle est une femme.
Peste: je pensais que c'était le talon d'un soulier qui servait à visser des clous.
Prof,
J'avoue, c'était ma première idée.
Mais, comme je connais ton fond "full pédagogique", je me suis dit que tu devais poser une colle. Alors, j'y ai bien pensé, puis fouillé dans ma mémoire, fait des recherches sur Wikipédia et - Eureka! - j'ai trouvé la réelle utilité du marteau.
D'ailleurs, j'aimerais faire mention que je POSSÈDE moi-même un marteau. Tsé!
Maintenant, quant à savoir m'en servir...
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